C'est un phénomène qui prend de l'ampleur à Marseille. Selon le bilan de la délinquance de la préfecture des Bouches-du-Rhône, les violences physique non crapuleuses dites gratuites ont bondi de près de 21% en deux ans. La préfecture recense à Marseille plus de 25 faits de violences gratuites par jour.