Ary Abittan : nouvelles révélations accablantes pour l'acteur qui aurait un "double...
Depuis le 2 novembre 2021, Ary Abittan est empêtré dans de sales draps. L’acteur a été mis ce jour-là en examen pour viol. Une agression sexuelle qui aurait eu lieu au domicile de l’acteur après que la présumée victime ait refusé une « pratique sexuelle non conventionnelle » qui remonterait au 30 octobre dernier. Depuis, le comédien se fait discret. En effet, l’acteur de « Qu’est-ce qu’on a fait au bon Dieu ? » a décidé de mettre sa carrière ente parenthèses immédiatement après sa garde à vue le 1er novembre dernier. Toutes les dates du spectacle de l’humoriste ont également été annulées. Si l’avocate du comédien lui a conseillé de garder le silence, son entourage décrit un homme dans un état de santé plutôt préoccupant. « Sous le choc », « catastrophé », « abasourdi » et « dans un état très fragile », l’humoriste semble au plus mal selon ses proches. Et cela ne va pas sûrement pas aller mieux au vu des nouvelles révélations faites par les journalistes de Paris Match qui ont mené l’enquête sur la personnalité d’Ary Abittan.La victime présumée d’Ary Abittan décrite comme « pudique, introvertie voire prude » par un ex-compagnon, se serait confiée à ses amies sur les pratiques intimes du comédien, décrivant « une sexualité intense » et un « comportement dominateur, parfois brusque ». « A ses copines, elle se plaint gentiment de l’empressement d’Abittan à lui imposer la sodomie », écrit Paris Match sur cette pratique que la jeune femme n’aimait pas – ce qu’elle « jure avoir dit à plusieurs reprises » à l’humoriste.Revenant sur la nuit en question, Paris Match évoque deux rapports sexuels, le premier « agréable », le second « traumatisant ». La partenaire du comédien aurait ainsi décrit aux enquêteurs « une pénétration anale non désirée, un rapport vaginal brusque, des claques, une strangulation, des cris […] une douleur aiguë, affreuse » telle qu’elle lui aurait demandé d’arrêter à plusieurs reprises. Poussée par des amies, la jeune femme a donc finalement décidé de porter plainte. Examinée par un médecin, elle présentait, comme le rapporte l’hebdomadaire, « plusieurs hématomes sur la cuisse, des plaies vaginales et anales vives » ainsi qu’un « trauma du coccyx ».