"C'est très difficile. Il faut qu'on nous aide à partir."
Ils sont une dizaine de chauffeurs routiers, bloqués depuis le 9 janvier à Kidira, la frontière du Mali, suites aux suspensions de la CEDEAO. La zone connait depuis la fermeture, une crise financière qui devient difficile à gérer.
Brut est allé à leur rencontre.