La chambre basse du Parlement russe, la Douma, a adopté à l'unanimité un amendement qui prévoit diverses peines. Jusqu'à quinze ans de prison sont prévus, en cas de propagation d'"informations mensongères sur l'armée". Le Kremlin a d'ores et déjà décidé de bloquer certains médias. Illustration de ce tour de vis en plein coeur de Moscou, au sein d'une rédaction menacée.