Assiégée depuis 9 jours, la ville de Marioupol est pilonnée par l'armée russe, avec de nombreux dégâts infligés aux bâtiments de la ville. Une maternité de la ville a notamment été ciblée, provoquant l'indignation générale. L'Union européenne condamne un "crime de guerre odieux", alors que la Russie justifie le bombardement, estimant que le bâtiment abritait des nationalistes ukrainiens du bataillon d'Azov.