«Depuis quarante ans, les banlieues ont concentré, pour plein de raisons, de la précarité, de la pauvreté, des difficultés. Il est plus que temps de réagir», selon l’une des représentants des six associations d’élus qui vont interpeller les candidats, ce lundi 28 mars. Les associations d’élus attendent Emmanuel Macron de pied ferme. Elles exigent aussi que le sujet soit aussi pris à bras-le-corps par les autres candidats à la présidentielle.