Vladimir Poutine a placé la figure des nazis au coeur de sa rhétorique justifiant l'invasion de l'Ukraine. Dans ses discours des 21 et 24 février, il a fait référence au nazisme à six reprises et a accusé Kiev de génocide, dressant un parallèle entre l'Allemagne nazie et l'Ukraine de Volodymyr Zelensky. Une réécriture de l'histoire qui sonne comme le point d'orgue de sa politique mémorielle fondée sur le culte de la Seconde guerre mondiale. Dans cette vidéo, avec les éclairages de l'historienne Galia Ackerman, "l'Obs" retrace la construction d'une rhétorique guerrière et expansionniste.

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