L’avocat pénaliste Georges Sauveur explique que si les points de deal existent encore, c’est en raison d'un manque de volonté politique car l’Etat en a les moyens : «Si l’Etat a l’intention de juguler le trafic et les réseaux de trafiquants de stupéfiants, l’Etat le peut, c’est une décision politique».