Le secrétaire général SCPN UNSA, David Le Bars explique que le dispositif ne permettait pas de procéder en toute sécurité à des interpellations, et qu’il a notamment manqué des équipes de la BAC, contrairement à l’Euro 2016 où le dispositif était plus adapté : «Il n’y a pas beaucoup d’interpellations, d’abord parce qu’il y a un risque avec la foule, et parce qu’on a manqué d’équipes anticriminalité, le dispositif n’était pas dimensionné».