Alors que se tenait mercredi 9 mars le dernier adieu au journaliste Jean-Pierre Pernaut, Stéphane Guillon a pointé du doigt la large couverture médiatique de ces obsèques éclipsant pendant un instant la guerre en Ukraine. Une critique qui reste en travers de la gorge de Gilles Verdez qui et sorti de ses gonds mercredi soir dans Touche pas à mon poste (C8).