SEARCH
Michel Taube : «De nos jours, en France, en 2022, il est de plus en plus difficile d’enseigner la Shoah»
CNEWS
2022-07-17
Views
7
Description
Share / Embed
Download This Video
Report
Selon le fondateur du site Opinion Internationale, Michel Taube, il est de plus en plus difficile d’enseigner la Shoah dans les salles de classe : «De nos jours, en France, en 2022, il est de plus en plus difficile d’enseigner la Shoah».
Show more
Share This Video
facebook
google
twitter
linkedin
email
Video Link
Embed Video
<iframe width="600" height="350" src="https://vntv.net//embed/x8cipmk" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>
Preview Player
Download
Report form
Reason
Your Email address
Submit
RELATED VIDEOS
01:48
Michel Taube : «Les Français ont des raisons d’avoir peur : ils ont des fins de mois de plus en plus difficiles»
01:32
Michel Taube : «Michel Barnier fait de plus en plus face à un mur d’opposants»
01:17
Michel Taube : «Les violences urbaines et les trafics de drogues ont pris une telle proportion que ça va être très difficile de rattraper le retard»
01:07
Michel Taube : «La police a peur d’intervenir dans ces quartiers difficiles, gangrénés par la drogue et tenus par de véritables mafias»
01:15
Michel Taube : «En France, la semaine de 4 jours n’est pas possible»
00:47
Michel Taube : «Beaucoup de familles israéliennes demandent tous les jours la libération des otages»
01:28
Michel Taube : «Les citoyens agressés osent de plus en plus le dire publiquement»
00:58
Michel Taube sur l'affaire Emma : «On est tous effarés de voir que de plus en plus de mineurs peuvent commettre de tels crimes»
00:56
Michel Taube : «Il y a de plus en plus de campements dans ces villes-là »
01:21
Michel Taube : «Il aurait fallu garder au niveau national, la gestion de nos frontières en déployant des effectifs militaires»
01:33
Michel Taube : «Le refus d'obtempérer est le symbole d'une société complètement laxiste où le respect de l'autorité a complètement disparu pour des millions de nos concitoyens»
01:05
Michel Taube : «On ne peut pas imposer, dans des petites communes de 3.000 habitants, un tel dispositif qui fait venir des personnes dites "impossibles à intégrer". Ça nuit aux conditions de vie de nos concitoyens»