Selon Paul Sugy, les quartiers populaires nourriraient une forme d'insécurité qui s'étendrait de façon inédite dans les territoires ruraux. Parmi les marqueurs de cette insécurité figurent les rodéos urbains : «Cette sous-culture sortie tout droit des banlieues chaudes s'exporte et devient une norme et un modèle pour des jeunes qui n'y étaient initialement pas sensibles».