Le général de corps aériens, Bruno Clermont a expliqué que la menace formulée par Vladimir Poutine ne risquait pas de provoquer «une guerre nucléaire dans laquelle les Français seraient entrainés» mais qu’il s’agissait d’usage «à des fins militaires et psychologiques d’une arme nucléaire tactique». «L’intérêt de Poutine, c’est que l’OTAN ne rentre pas en guerre directe», a-t-il appuyé.