SEARCH
Sergueï Jirnov : «On peut parfaitement imaginer la dislocation de la Russie»
CNEWS
2022-09-22
Views
82
Description
Share / Embed
Download This Video
Report
L'ancien espion du KGB, Sergueï Jirnov, au sujet de la Russie : «On peut parfaitement imaginer la dislocation de la Russie comme c'était le cas pour l'URSS».
Show more
Share This Video
facebook
google
twitter
linkedin
email
Video Link
Embed Video
<iframe width="600" height="350" src="https://vntv.net//embed/x8dw4zx" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>
Preview Player
Download
Report form
Reason
Your Email address
Submit
RELATED VIDEOS
01:02
Serguei Jirnov : «L'OTAN, en 70 ans, n'a jamais mené une seule opération ni envoyé un seul soldat contre la Russie»
01:04
Vincent Jeanbrun : «Comment peut-on imaginer que dans le cadre d’un inceste, on puisse demander à la jeune femme d’aller au bout de la grossesse ?»
01:47
Vincent Hervouët : «Qui peut imaginer que la France peut avoir une véritable politique étrangère avec un gouvernement aussi fragile et un président aussi désavoué»
02:17
Témoignage : «Quand on vit dans un monde civilisé, on ne peut pas imaginer à quelle vitesse ça se dégrade pendant la guerre» dit Tetyana
02:29
Meyer Habib : «Il y a des actes de barbarie au-delà de ce que l'on peut imaginer»
00:49
Muriel Ouaknine Melki : «On ne peut pas aujourd'hui imaginer ce que doit être la douleur de la famille»
00:50
Gilles-William Goldnadel : «On peut imaginer que les policiers se sont sentis en danger»
01:09
Franck Allisio : « Qui peut imaginer un électeur de Marine Le Pen tenté par Valérie Pécresse ? »
00:46
Éric Revel : «Quel Français peut imaginer que cela va changer quoi que ce soit à son quotidien ?»
00:56
Laurence Sailliet : «On ne peut pas imaginer un scrutin équilibré et paisible sans que [Marine Le Pen, Jean-Luc Mélenchon et Éric Zemmour] soient présents»
01:29
Dr Jean-Paul Ortiz : «Quand on voit les chiffres de l’épidémie, on ne peut pas imaginer qu’il n’y ait pas de mesures supplémentaires»
02:06
Karim Zeribi : «J'ai du mal à imaginer, que la société peut obliger quelqu'un qui ne donne pas d'affection à en donner.»