Philippe Bilger, président de l’Institut de la Parole, déclare à propos de la meurtrière de la petite Lola : «Je n’ai jamais eu d’affaire criminelle de cette nature aux assises. C’est une stupéfaction absolue de penser que derrière cette apparence, quelque chose de sombre et d’une certaine manière de démoniaque s’est produit. Avec une passion psychologique pour déterminer comment ça a pu naître, à supposer qu’elle-même sache ce qui l’a mobilisée.»