La secrétaire générale de l'unité des magistrats, Béatrice Brugère, au sujet de la justice défaillante actuellement : «On a une justice qui est totalement au bord de la rupture, qui ne fait que d'avoir des délais qui se rallongent au civil comme au pénal [...] Il y a une responsabilité de l'Etat. Aujourd'hui on est en train de payer l'addition d'années de sous-investissement».