On pourrait que penser que le sentimentalisme, l'animalisme, le respect des animaux nous poussent à défendre l'interdiction de la corrida, je pense au contraire que l'air du temps en a un peu marre précisément de ces leçons de morale», assène Yvan Rioufol. Le journaliste estime au contraire que «l'enracinement, le localisme, le respect des traditions locales poussent à préserver la corrida».