Deux manières de détourner la langue française font débat : les anglicismes et l’écriture inclusive. Pour le premier, c’est un phénomène qui touche même le chef de l’État, puisqu’Emmanuel Macron est le premier à en utiliser, avec des termes comme «french tech» ou encore «early stage». Quant à l’écriture inclusive, elle complexifie la lecture pour les personnes atteintes de dyslexie et de dyspraxie. Aujourd’hui, 321 millions de personnes parlent français dans le monde.