Le parquet général ukrainien a annoncé lundi avoir découvert quatre "sites de torture" utilisés par les Russes à Kherson lors de leur occupation de cette ville du sud de l'Ukraine jusqu'à sa reprise par les troupes de Kiev le 11 novembre. Pour Aymeric Elluin, chargé de plaidoyer Armes et Conflits pour Amnesty International France, "les autorités doivent sécuriser un maximum d'informations".