Les «femmes osent plus dénoncer des faits de violence, mais que f ait-on de cette parole ensuite ? Parce qu'encore beaucoup de femmes ne sont pas entendues, beaucoup ne sont pas prises en considération», estime Sandrine Bouchait, la présidente de l'Union des familles de féminicide, pour qui «jamais rien ne justifiera la violence».