SEARCH
Bernard, enseignant à la retraite : «La retraite à 60 ans était une grande réforme. Bientôt, on va revenir au XIXe siècle»
CNEWS
2023-01-31
Views
29
Description
Share / Embed
Download This Video
Report
Bernard, enseignant à la retraite : «La retraite à 60 ans était une grande réforme. Bientôt, on va revenir au XIXe siècle» dans #LaParoleAuxFrançais
Show more
Share This Video
facebook
google
twitter
linkedin
email
Video Link
Embed Video
<iframe width="600" height="350" src="https://vntv.net//embed/x8hqnun" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>
Preview Player
Download
Report form
Reason
Your Email address
Submit
RELATED VIDEOS
01:03
Olivier Faure, Premier secrétaire du Parti Socialiste, sur la réforme des retraites : «La réforme telle qu’elle était envisagée jusqu’ici était une réforme très injuste» #LaMatinale
01:27
Manuel Valls : «On ne peut pas revenir sur la réforme des retraites»
02:48
Geoffroy Roux de Bézieux : «On va être obligé à un moment de revenir sur la réforme des retraites.»
01:09
Réforme des retraites : Bientôt des pénuries d'essence ?
01:20
Alexis Izard : «Je me souviens de l’époque où Eric Ciotti était pour la réforme des retraites»
01:05
Aurore Bergé : «Je considère que cette réforme des retraites était nécessaire»
01:06
Gaspard Koenig : «Derrière ce thème de la simplification, il y a tout un projet de société. Revenir sur deux siècles de jacobinisme, c’est revenir sur cette passion de la norme et de la verticalité, de l’infantilisation»
02:02
Guillaume Perrault : «Il y a une tradition d’antisémitisme de gauche qui naît au XIXe siècle»
01:48
Anne de Guigné : «A la fin du XIXe siècle, une dizaine de grands industriels possèdent toute la richesse du pays»
01:29
Jean-Sébastien Ferjou sur la réforme des retraites : «D'une réforme de justice on est passés à une réforme de nécessite budgétaire»
01:13
Karima Brikh sur la réforme des retraites : «Ce sont les jeunes qui vont payer le gros prix de cette réforme»
00:42
Nathan Devers, au sujet de la réforme des retraites : «Tout l’argumentaire autour de cette réforme c’est de la présenter comme une fatalité alors que c’est un choix politique très clair»