Selon Marc Menant, les drogues qualifiées comme étant "douces" sont les portes d'entrée à des drogues "dures". Le journaliste déplore que les personnes dépendantes soient ensuite considérées comme des victimes : «Après, on ne dit pas que la personne est "droguée" mais qu'elle est "malade", on entre dans la victimisation».