Une réforme de l’Institut national électoral, en charge d’organiser la prochaine élection présidentielle en 2024, a été définitivement adoptée mercredi. L’objectif : y réduire le budget et les effectifs. Le président mexicain Andres Manuel Lopez Obrador accuse notamment l’INE d’avoir couvert des fraudes dans le passé.
Les partis d’opposition ont annoncé un recours devant les juges de la Cour suprême.