Une étude révèle, les bonnes habitudes , pour réduire les risques
de démence.
The Guardian rapporte qu'une étude récente étalée sur deux décennies a révélé une liste de bonnes habitudes qui pourraient réduire le risque de développer une démence.
Selon ces recherches, un style de vie actif et un régime alimentaire équilibré durant l'âge adulte seraient deux composants permettant de conserver une bonne santé mentale.
D'autres habitudes sont aussi citées comme le fait de ne pas fumer, maintenir une pression sanguine constante ou encore contrôler ses niveaux de cholestérol ou de sucre dans le sang.
Maintenant que nous savons que la démence débute dans notre cerveau plusieurs décennies avant le diagnostic, il est important d'en apprendre plus sur les habitudes qui peuvent réduire les risques de démence à un âge avancé, Pamela Rist, épidémiologiste, division de médecine préventive de Brigham, via The Guardian.
Maintenant que nous savons que la démence débute dans notre cerveau plusieurs décennies avant le diagnostic, il est important d'en apprendre plus sur les habitudes qui peuvent réduire les risques de démence à un âge avancé, Pamela Rist, épidémiologiste, division de médecine préventive de Brigham, via The Guardian.
La bonne nouvelle est que les choix que nous faisons à l'âge adulte peuvent mener à un risque décru de démence à l'avenir, Pamela Rist, épidémiologiste, division de médecine préventive de Brigham, via The Guardian.
The Guardian indique que le nombre de personnes atteintes par cette maladies devrait tripler pour atteindre 153 millions en 2050.
D'après les experts, cela présente une menace pour les systèmes de santé et de sécurité sociale autour du monde.
Cela peut être motivant de savoir que faire de l'exercice une demi-heure par jour ou garder une pression sanguine constante peut réduire les risques de démence, Pamela Rist, épidémiologiste, division de médecine préventive de Brigham, via The Guardian.
Mis à part le fait de rester actif et de garder une bonne santé cardiaque, bien se reposer, stimuler son cerveau et rester connecté aux personnes autour de nous persmet également de réduire les risques de maladie mentale, Susan Mitchell, responsable politique, Alzheimer’s Research UK, via The Guardian