L'OMS alerte sur le risque de "catastrophe biologique", après la prise de contrôle de laboratoires, par des soldats soudanais.
Ce 25 avril, l'Organisation Mondiale pour la Santé (OMS)
a averti d'un risque élevé de catastrophe biologique
après qu'un laboratoire publique central ait été
saisi au Soudan, déchiré par la guerre.
Ce 25 avril, l'Organisation Mondiale pour la Santé (OMS)
a averti d'un risque élevé de catastrophe biologique
après qu'un laboratoire publique central ait été
saisi au Soudan, déchiré par la guerre.
Fox News rapporte que les représentants de l'OMS au Soudan ont affirmé que ces labos contenaient des échantillons de rougeole et de polio qui pourrait mener à des situations extrêmement dangereuses.
Fox News rapporte que les représentants de l'OMS au Soudan ont affirmé que ces labos contenaient des échantillons de rougeole et de polio qui pourrait mener à des situations extrêmement dangereuses.
Il y a un grand risque associé avec l'occupation des laboratoires publiques par l'un des participants au conflit, Dr. Nima Saeed Abid, représentant de l'OMS au Soudan,
via Fox News.
Reuters indique que plus de 459 personnes
ont été tuées depuis le début des hostilités et
que 4 072 auraient été blessées.
Ce 24 avril, le secrétaire d'Etat américain,
Antony Blinken, a annoncé que le cessez-le-feu
de 72 heures n'avait pas été resepcté.
Fox News confirme que cette trêve
s'étendra de nouveau sur trois jour, alors
que le cessez-le-feu a déjà été accepté.
Ce 25 avril, les forces militaires soudanaises
et leur rival, les forces de support rapide,
mettront en pause le conflit.
D'après les deux factions, l'Arabie Saoudite a joué un rôle important dans les négociations.
Ce cessez-le-feu vise à établir des corridors humanitaires, permettant aux citoyens et aux résidents d'accéder à des ressources essentielles, des soins, des zones sécurisées ainsi qu'aux diplomates d'être évacués, Forces de support rapide, via communiqué.
Ce cessez-le-feu vise à établir des corridors humanitaires, permettant aux citoyens et aux résidents d'accéder à des ressources essentielles, des soins, des zones sécurisées ainsi qu'aux diplomates d'être évacués, Forces de support rapide, via communiqué.
Cependant, Associated Press affirme que les combats se sont poursuivis dans la capitale, Khartoum, malgré le cessez-le-feu