SEARCH
Benjamin Morel : «Je ne vois pas de faits qui feraient qu’on aurait une situation type 2015»
CNEWS
2023-06-11
Views
1
Description
Share / Embed
Download This Video
Report
Invité de Punchline Weekend, Benjamin Morel s'est exprimé sur la situation en France. «Je ne vois pas de faits qui feraient qu’on aurait une situation type 2015», a déclaré le maître de conférences en droit public.
Show more
Share This Video
facebook
google
twitter
linkedin
email
Video Link
Embed Video
<iframe width="600" height="350" src="https://vntv.net//embed/x8lom7y" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>
Preview Player
Download
Report form
Reason
Your Email address
Submit
RELATED VIDEOS
00:41
Benjamin Morel : «Si Damien Abad démissionne, je ne vois pas pourquoi Gérald Darmanin reste ministre»
00:43
Benjamin Morel : «Je vois vraiment dans ces manifestations une source d'espoir»
01:31
Benjamin Morel : «Le pass sanitaire a permis de doper la vaccination, là, je ne vois pas l’utilité du pass vaccinal»
01:05
Vanessa Edberg : «Je ne vois pas comment Marine Le Pen aurait un arrêt de la cour d'appel à temps»
02:16
Shaparak Saleh : «Je ne vois pas pourquoi il aurait fallu attendre pour qu'Israël se défende»
00:49
Judith Waintraub : «Je ne vois pas comment la situation des Républicains est réparable.»
00:54
Alexis Bachelay : «La réalité c'est que je vois la multiplication de fermetures de classes et de situations de clusters qui sont multipliés»
01:22
Marc Eynaud : «Je ne vois pas comment la France Insoumise ou l’Union populaire pourrait survivre à un départ de Jean-Luc Mélenchon, je ne les vois pas se réinventer et je ne vois personne d’assez charismatique pour le faire»
00:53
Jean-Philippe Tanguy : «Quand je vois Monsieur Wauquiez, je vois toutes les vieilles ficelles qui ont conduit à la ruine du pays»
01:10
Charlotte d’Ornellas : «Je continuerai à dire que je ne vois pas une momie avec des tubes, je vois une personne qu’il est encore possible d’aimer»
03:24
Jacques Morel : «Les faits ne correspondent pas à un départ volontaire»
00:56
Benjamin Morel : «Théoriquement, la préfecture aurait pu agir. Mais dans le cas d'une personne réquisitionnée qui n'a pas envie de faire son travail, ce n'est pas vraiment efficace»