Le jeudi 28 septembre, Michel Sardou était l'invité du 20 h de Ruquier sur BFMTV. Au cours de ses échanges avec l'animateur principal et les chroniqueurs, le chanteur a exprimé son souhait que "les femmes n'en fassent pas trop", bien qu'il reconnaisse qu'elles ont des raisons justes de se défendre.

Sur le plateau du 20 h de Ruquier, ce jeudi 28 septembre, Michel Sardou s'est montré d'une franchise notable. Invité sur BFMTV une semaine après la sortie de sa dernière chanson intitulée "En quelle année Georgia", le chanteur célèbre pour ses titres tels que "Les Lacs du Connemara" a tenu des propos qui ont suscité le rire des chroniqueurs présents, tout en risquant de déclencher une polémique.

Au cours de l'interview, le compositeur a également affirmé que les femmes "ont tout à fait raison de revendiquer leurs droits, y compris l'égalité salariale avec les hommes." Cependant, il a ajouté immédiatement après : "En revanche, il faut éviter d'aller trop loin."

En ce qui concerne sa chanson controversée "Le temps des colonies", dans laquelle il décrit une France coloniale idéalisée et teintée de racisme, il a précisé que c'était une approche humoristique. Il a expliqué : "Je me moquais des individus qui avaient géré les colonies. Ils étaient en avance sur leur temps dans leur façon de penser", suscitant les rires de Laurent Ruquier. Michel Sardou a également indiqué qu'il n'avait plus l'intention de composer de nouvelles chansons, de peur qu'elles ne deviennent trop politiques.

Interrogé ensuite au sujet de la visite du pape à Marseille, le chanteur âgé de 76 ans a commenté en ces termes : "Le pape François s'exprime en se basant sur l'Évangile. Il est contraint de mettre en avant des notions telles que la charité, la bonté, et l'accueil. Cependant, il arrive un moment où l'on ne peut pas accueillir toute la détresse du monde", reprenant ainsi les paroles prononcées par Michel Rocard.

Michel Sardou a ensuite tenu à préciser qu'il n'avait aucun lien avec Emmanuel Macron, affirmant n'avoir jamais eu l'occasion de le rencontrer. Cette déclaration intervient alors que le Président avait lui aussi cité la phrase de Michel Rocard la semaine précédente.

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