SEARCH
Jean-François Ricard : «Il était connu pour sa radicalisation»
CNEWS
2023-10-13
Views
19
Description
Share / Embed
Download This Video
Report
Jean-François Ricard, procureur de la République antiterroriste, revient sur l’assassinat d’un professeur à Arras : «Il était connu pour sa radicalisation».
Show more
Share This Video
facebook
google
twitter
linkedin
email
Video Link
Embed Video
<iframe width="600" height="350" src="https://vntv.net//embed/x8ot3ju" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>
Preview Player
Download
Report form
Reason
Your Email address
Submit
RELATED VIDEOS
00:55
Claude Moniquet : «Il était suivi depuis plusieurs années pour sa radicalisation. Il était fiché»
01:05
Jean-Louis Bruguière : «C’est un fait connu que la prison est un lieu où les phénomènes de radicalisation s’opèrent et sont fréquents»
00:50
Gérald Darmanin : «A Sainte-Soline, on a dénombré 200 individus connus des services de renseignements, dont de nombreux fichés S pour radicalisation»
01:20
Le suspect était fiché pour radicalisation, selon Cazeneuve
01:09
Claude Moniquet : «On est face à un adolescent qui était déjà surveillé pour radicalisation»
00:58
François Pupponi : «La plupart du temps, lorsqu'on regarde un peu derrière ces enfants, ce sont les parents qui les ont radicalisés»
00:49
Jean-François Ricard: «Plus de 100 témoins ont été entendus et 13 personnes ont été placées en garde à vue»
01:37
«Le professeur a été nommément désigné comme une cible sur les réseaux sociaux», annonce Jean-François Ricard
02:14
Jean-François Ricard : «À cette heure, nous dénombrons une victime qui est décédée, et trois autres victimes qui sont blessées»
01:25
Jean-François Ricard: «Dans son enregistrement audio, Mohammed M a développé sa haine de la France, des Français et de la démocratie»
00:21
Jean-François Ricard : «Le pronostic vital des trois victimes blessées n’est plus engagé»
01:14
François Pérain : «Ces hommes sont insérés socialement et ne sont pas connus de la justice […] Ils partagent une même communauté d’idées, sont contre l’Etat et sont mobilisés contre ce qu’ils appellent la dictature sanitaire»