Agressée en novembre, cette jeune femme de 26 ans souhaite prendre la parole pour "faire bouger les choses d’un point de vue politique". "Si cette OQTF avait été exécutée, ça ne serait pas arrivé. Toutes les semaines, on entend des histoires avec des femmes agressées par des personnes soumises à des OQTF ou qui sont récidivistes. Ce n’est pas normal, ce n’est pas un sujet qu'on doit laisser passer. Il faut faire bouger les choses d'un point de vue politique", estime la jeune femme.