Depuis le début du procès des viols de Mazan, l'image et le nom de Gisèle Pelicot sont devenus symboles de lutte contre les violences sexuelles. À Lille, la street-artiste @ladame_quicolle colore les rues de la ville avec des dessins la représentant. A Paris, le collectif @collages_feminicides_paris placarde sur les murs des messages de soutien, tout en veillant à ne pas l'ériger en icône.
Par Adrien Serrière, journaliste à France Inter