Celle qui avoue ne pas avoir eu à l’origine la volonté de rentrer au gouvernement et ne pas être « spécialiste » des sujets de l’Éducation nationale estime qu’« une nouvelle page s’ouvre » à la tête de l’État. Pour elle, cette « page » appelle à la « responsabilité de chacun et chacune d'entre nous pour trouver la voie de la stabilité institutionnelle ».