Malgré les menaces, Raphaël Enthoven maintient ses propos, affirmant "qu'il n'y a aucun journaliste à Gaza mais uniquement des tueurs ou des preneurs d’otages avec une carte de presse"

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Pour avoir osé affirmer qu'il n'y avait aucun journaliste à Gaza mais "Uniquement des tueurs, des combattants ou des preneurs d’otages avec une carte de presse", avec une vidéo à l'appui pour démontrer son affirmation, Raphaël Enthoven fait l'objet d'une vague de haine, de menaces de morts et de propos antisémites sur les réseaux sociaux.

"On connaît des dizaines d’exemples avérés de faux « journalistes » qui sont en réalité des combattants du Hamas ou des preneurs d’otages. Combien d’exemples a-t-on de journalistes libres de travailler à Gaza qui ne soient liés ni de près ni de loin à l’organisation terroriste "» a-t-il également publié sur X.

Face à cette vague de haine, sans se démonter, Raphaël Enthoven a repris la plume :

"Pour avoir dit qu'il n'y avait aucun journaliste à Gaza, j'ai été traité d'ignominieux, de "sommet de colonialisme exterminateur", de "nazi", d'"infâme ordure", de "complice du génocide", j'ai été menacé d'un "nouveau Nuremberg", et (comme à son habitude) un moustique obsessionnel a exigé de mon patron que je perde mon job.

La seule chose que je n'ai pas reçue, c'est l'identité d'un seul véritable journaliste à Gaza = qui travaille librement sans être lié au Hamas d'une manière ou d'une autre. Dès lors, je persiste.

A mon sens, il n'y a aucun journaliste à Gaza, car je refuse la qualité de journaliste à quiconque travaille pour une organisation terroriste. La détention d'une carte de presse n'y fait rien.

Le plus grave, c'est que c'est à ces terroristes déguisés en journalistes, tantôt combattants, tantôt hébergeurs d'otages, qu'on demande d'être impartiaux dans la description qu'ils fournissent de Gaza."

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