Le tribunal correctionnel de Nanterre (Hauts-de-Seine) a rendu ce jeudi sa décision à l'encontre de la nourrice algérienne de 42 ans sous OQTF, jugée pour avoir versé des produits ménagers dans plusieurs aliments et cosmétiques de ses employeurs de confession juive. La justice a cependant écarté la circonstance aggravante d’antisémitisme. Pour Sarah Saldmann, avocate, «parfois, il y a une certaine frilosité à retenir le caractère antisémite».