Inspiré par les poèmes d’Omar Khayyam, de Voltaire, de Birago Diop et de Victor Hugo, le chorégraphe met un point final à sa trilogie en s’interrogeant sur la mort.
Depuis le premier éclair de conscience, l’homme sait que le souffle de vie apporte avec lui la mort.
La vie est une maladie mortelle, cette condamnation, connue de tous, la même pour tous, est pourtant perçue de multiples façons. Le plus souvent, elle effraie, mais toujours, elle interroge : et si…tout n’était pas fini ?