Lors du festival de Marseille, la chorégraphe Carlotta Ikeda nous fait part de la danse des ténèbres : le buto. Cette forme d'expression est d'origine japonaise et cherche à exorciser le cauchemar d'Hiroschima. Les danseuses se peignent le corps en blanc pour interpréter la danse et cherchent à donner chair à l'instinct de survie dans le pire des chaos.
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