Benoît Hamon, porte-parole du PS, a réfuté lundi 5 décembre "le fait qu'il y ait un seul germanophobe au parti socialiste". Devant les journalistes, il a dénoncé la "politicaillerie" du Premier ministre, preuve selon lui de "l'ampleur du malaise à droite" qui a été obligée de "céder aux injonctions de Mme Merkel."