Alors que les députés socialistes avaient proposé la taxation sur les transactions financières, la taxation des revenus variables extravagants, la suppression de la niche Copé (exonération d’impôts sur les sociétés) ou encore la retaxation des heures supplémentaires, la droite a choisi le gel du barème de l’impôt sur le revenu, l’augmentation de la TVA, le blocage de la revalorisation des allocations… faisant ainsi peser la rigueur sur le plus grand nombre et notamment les plus précaires.