C'était l'effet attendu de la dégradation du triple A français. C'est d'ailleurs inscrit dans la méthodologie de Standard and Poor’s : avec la perte du AAA, la note de tous les organismes publics, de toutes les entreprises qui ont l'Etat à leur capital, est remise en cause. La règle est assez claire : les entités publiques ne peuvent pas être mieux notées que l'Etat français.