Chers lecteurs, chers amis,
Il n'y a pas de fatalité dans le destin d'un peuple, d'une Nation, d'un pays, d'un continent. Les peuples et les pays africains doivent en prendre conscience.
Toute émancipation commence par l'émergence d'une nouvelle conscience, individuelle, ou collective. Les intellectuels, ont dans l'esprit, le devoir d'y contribuer.
C'est cette modeste contribution que je propose à mes lecteurs.
Fini, donc le temps de la contemplation, de l'irresponsabilité et de la complaisance, il est vraiment temps que l'Afrique s'assume pleinement et définitivement dans tous les domaines, et réponde à l' urgence de la nécessaire refondation économique et politique, tant au niveau des états que du continent.
Cordialement.
Flaubert AHIPO Dipro