Nathalie Segaunes, envoyée spéciale du Parisien - Aujourd'hui-en- France en Guadeloupe, revient sur les circonstances de la mort du militant, tué mardi soir par balle. La victime, âgée d'une cinquantaine d'années revenait de la Mutualité après un meeting du LKP, le «collectif contre l'exploitation», quand son véhicule a soudainement essuyé des tirs. Trois au total. L'une des balles l'atteint au thorax. "Il ne s'agit pas d'une balle perdue", a affirmé le procureur de Pointe-à-Pitre, Jean-Michel Prêtre. L'homme était un syndicaliste CGTG, une branche de la CGT.