Depuis six mois maintenant, les 36 680 maires de France font l'objet de toutes les convoitises de la part des candidats à la présidentielle, qui ont besoin de 500 signatures pour se présenter. Pour atténuer cette pression, François Pelletant, maire sans-étiquette de Linas (Essonne), a proposé le vote de son conseil municipal comme moyen de choisir son parrainage. Si l'idée a été rejetée par les élus municipaux, elle traduit le malaise de maires «sous pression», davantage victimes de «campagnes de démarchages».

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