La question des campements sauvages des populations ROMS sur le territoire est une question de misère humaine, mais aussi de réseaux mafieux, rappelle Louis Nègre (Alpes-Maritimes). Cette misère entraine de fait une délinquance préjudiciable pour les citoyens français, mais aussi pour les populations immigrées. Le sénateur souhaite donc obtenir plusieurs clarifications sur la politique que le gouvernement entend mener : modalités d’autorisation de démantèlement des camps, intégration au marché de l’emploi et du logement et quelle politique de lutte contre la délinquance juvénile des populations ROMS.