Celui qui est désormais président du principal parti d'opposition s'est refusé à commenter la "fracture morale" dont souffre désormais l'UMP, d'après son adversaire déçu François Fillon. A l'inverse, Jean-François Copé a estimé mardi sur RTL que ce scrutin n'était "pas un point d'arrivée" mais "un point de départ". "Je ne crois pas du tout qu'il y ait un risque de scission", a-t-il assuré.
Images : RTL via AFP - mardi 20 novembre 2012