Bras levés contre le pouvoir comme elle l'avait fait aux premiers jours de la Révolution de jasmin, la jeunesse tunisienne réinvestit la rue et conteste la légitimité des islamistes en place depuis l'automne 2011.
Un mécontentement qui ne date pas d'hier mais a pris une ampleur inouïe avec la mort de Choukri Belaid, ce député de l'opposition abattu
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