De nombreux maires manifestent leur inquiétude quant au financement de la réforme des rythmes scolaires. En effet, de nombreuses communes rurales redoutent de ne pas être en mesure de proposer des activités périscolaires de qualité.
Jean-François Humbert (Doubs) relaie le souhait des élus d’obtenir une compensation financière pérenne de l'État, et non une aide ponctuelle, pour assumer cette nouvelle charge. Dans la mesure où, juridiquement, la prise en charge des activités périscolaires ne relève pas des obligations des communes, le gouvernement doit assurer une prise en charge financière durable.