Philippe Hugon, directeur de recherche à l'Iris et spécialiste de l'Afrique, analyse la libération de la famille Moulin-Fournier, enlevée le 19 février dernier au nord du Cameroun. Pour lui, bien qu'"odieuse" puisqu'elle concernait également quatre enfants, cette prise d'otage pouvait quand meme laisser espérer une issue heureuse.