"Omar m'a tuer". La célèbre inscription en lettre de sang désignera, pour la justice, le meurtrier de Ghislaine Marchal, assassinée en 1991. Pour la police et les juges, le meurtrier ne peut qu'être Omar Raddad, le jardinier de la victime bien que ce dernier ne cesse de clamer son innocence. Jacques Vergès prend la défense du jeune employé maghrébin. Mais en 1994, la justice condamne Omar Raddad à 18 ans de réclusion. Omar Raddad bénéficie d'une grâce partielle en 1998.