Le président français, qui s'exprimait avec son homologue allemand du palais de l'Elysée, a réaffirmé mardi la nécessité d'une "réponse de la communauté internationale" à l'emploi d'armes chimiques par le régime de Damas contre son peuple. "Quand un massacre chimique se produit, que le monde est informé, que les preuves sont livrées et les coupables connues, il faut une réponse", a-t-il pointé.