Ce huitième long métrage inspiré du roman de Pierre Boulle met aux prises deux groupes, l'un constitué d'humains, l'autres de singes, alors qu'un virus a décimé la population humaine tout en permettant aux primates de gagner en intelligence. Suite directe de La Planète des singes : les origines, le film de Matt Reeves ne parvient pas à se hisser au niveau de son prédécesseur. Personnages archétypaux, intrigue transparente et acteurs atones éclipsent bien vite la prouesse technique. L'analyse des critiques du Monde, Mathieu Macheret et Isabelle Regnier.
Images : Olivier Clairouin / Le Monde.fr