Chroniqueur permanent depuis 15 ans à Charlie Hebdo, Antonio Fischetti aurait dû être présent mercredi dans les locaux de l'hebdomadaire satirique. Encore sous le choc de l'attaque qui a fait 12 victimes, il raconte chez Jean-Jacques Bourdin que la surveillance policière s'était relâchée ces derniers mois, et appelle à la survie de Charlie Hebdo.